Bonsoir Kahina,
Si tu ne lis pas mes messages ni n'applique mes recommandations, inutile que je m'escrime dans de longues explications ! La précédente formule renvoyait un numéro préalablement mis... Ces numéros préalables supprimés, ce qui était très bien ! cette formule ne peut plus rien renvoyer (en tout cas pas le numéro suivant), ce que j'avais signalé en son temps !
Pour renvoyer le numéro, la formule de substitution :
=NBVAL(A:A)
suffisait...
Mais il me semblait avoir suffisamment détaillé que l'important n'était pas d'afficher un numéro pour le recopier, mais de le faire affecter automatiquement, d'où la ComboBox devenue inutile (du moins pour cette fonction, pour laquelle elle ne l'était d'ailleurs guère...), d'où une TextBox pour l'afficher (sans le saisir) à titre de simple information pour l'utilisateur, car à partir du moment où ton programme peut affecter automatiquement et correctement le numéro suivant, il le fera, que tu le voies ou pas !!
Et comment ? J'ai aussi passé suffisamment de temps à expliquer l'intérêt de nommer dynamiquement une plage!
Sachant que ce nom te fournit à la fois le numéro à affecter automatiquement et la ligne d'insertion dans la plage nommée, car il y a une correspondance directe entre les deux. Ce qui réglait deux problèmes que tu posais et de façon particulièrement simple.
Une fois ceci acquis, il ne restait plus qu'à réorganiser tes contrôles de façon à affecter les valeurs saisies en boucle, à affecter un tableau plutôt que directement cellule par cellule, et affecter le tableau en une seule fois sur la ligne, ce qui constitue une opération simple et claire. Cette trame étant enfin définie une bonne fois, on pouvait compléter par les contrôles de saisies indispensables pour les données à saisie obligatoire, et définir le système de recherche (rappel pour rectification) manquant...
Tout cela est déjà détaillé dans mes posts successifs sur ton sujet, mais si tu ne les lis pas ou a décidé de les occulter pour revenir à des recherches cafouilleuses, j'ai simplement perdu mon temps, inutile que je persiste !