DECALER(réf;;décalagecolonne) => là où il n'y a rien (emplacement du décalage ligne) c'est qu'on ne décale pas en ligne. Si tu tiens à mettre quelque chose, tu peux mettre 0 (mais ça allonge inutilement).
Dans la première formule, la référence était une plage fixe (d'où références absolues), donc ne variant pas lors de la recopie, comme on recopiait vers le bas pour obtenir des valeurs décalées en colonnes (consécutives), on apprécie le décalage colonne avec la fonction LIGNE. LIGNE(1:1) renvoie 1. Recopiée vers le bas, 1:1, devient 2:2, 3:3... A chaque ligne on va donc pointer sur la colonne suivante. Noter que la plage mise en référence est dans la colonne qui précède le premier résultat à obtenir. On commence avec un décalage 1, jusqu'à 12...
Pour la 2e formule, il n'y a pas d'inversion ligne/colonne entre le tableau source et le tableau cible. La fonction COLONNE fonctionne comme LIGNE mais en renvoyant un numéro de colonne. COLONNE(A:A) renvoie 1. Recopiée vers la droite A:A devient B:B (=2), C:C (=3)... Donc on utilise COLONNE puisqu'il n'y a pas d'inversion (alors qu'on utilisait LIGNE précédemment en raison de l'inversion). On doit décaler de 5 colonnes à chaque fois, donc on soustrait 1 à COLONNE et on mutiplie ce résultat par 5 : le premier décalage sera 0 (d'où la référence n'est décalée au départ), les autres suivront de 5 en 5.
La référence est sous forme colonne absolue-ligne relative : en recopiant la colonne ne variera pas (c'est le décalage qui permettra de pointer sur la source voulue). Mais la ligne s'incrémentera en recopiant vers le bas, ce qui maintient la correspondance source-cible.
Cordialement.